Pour les « pointus » anglophones :
suivez le lien :
https://www.pan-europe.info/sites/pan-europe.info/files/public/resources/reports/PesticideAtlas2022_Web_20221010.pdf
Défense de l'environnement à Gueux
Pour les « pointus » anglophones :
suivez le lien :
https://www.pan-europe.info/sites/pan-europe.info/files/public/resources/reports/PesticideAtlas2022_Web_20221010.pdf
Nous vous l’indiquions dans notre flyer de février 2022:
130 logements prévus pour le projet de lotissement « Le Moulin à Vent » ?
Notre Maire nous a répondu par voie de presse dans le journal l’Union du 17 novembre 2021. Il nous indiquait qu’il ne prévoyait pas plus de 10 logements et que rien n’était sûr.
Inquiète pas le maire |
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Les documents du PLU approuvé en 2019 le précise très clairement: 130 logements indiqués dans le PADD et 20 logements par Ha.
(Aurions-nous menti ?)
Le Maire finit par communiquer dans le « Flash Info » municipal du mois de septembre dernier le chiffre de 58 parcelles à la vente, mais ne dit rien sur les 72 autres logements prévus.
(L’Association « GueuxEnvironnement » aurait-elle vu juste ?)
L’annonce des 130 logements est avouée lors d’un reportage dans le JT du 19/20 France 3 Champagne Ardenne du 18 octobre (à partir de la quinzième minute) ainsi que lors de la réunion du Conseil Municipal du même jour.
JT 19/20 France 3 Champagne-Ardenne
(Qui avait menti ?)
Espérons que ce soit bien le maximum car lorsque l’on voit la file de voitures rue du Moutier aux entrées & sorties des écoles, on imagine mal la situation avec l’ajout d’au moins 150 véhicules supplémentaires.
…/…
NB : Ensuite, arrivés au rond point on laissera passer les nouveaux camions de l’extension ALDI.
(Merci M. Le Maire.)
L’Anses a déclassé deux métabolites d’un herbicide, le S-métolachlore. Désormais considérés comme non pertinents, leur gestion dans l’eau potable ne sera plus la même. Une évolution que l’association Générations futures dénonce.
Commentaire de JCL M44 approuvé
Est ce la course à l’échalotte ? On classe, et on déclasse si dépassements. Depuis l’interdiction de l’atrazine (2003) et du métolachlore (2003), le S-métolachlore est devenu l’un des produits les plus vendus pour le désherbage chimique du maïs. A partir de saisines de ANSES, ex. Saisine n° 2018-SA-0187, il apparaît que le métolachlore était stable en laboratoire, mais se dégradait rapidement dans le sol, la période de l’ordre de 3 semaines – très bien ! sauf que des métabolites (molécules issues des dégradations) peuvent perdurer dans le sol, tel que dans des études s’est retrouvé 2 ans après à des concentrations jusqu’à 2,1 et 2,4 microgrammes/l . L’Etude précise le métabolite concerné : CGA 369873, Ah ! Vous allez dire, que vient faire ce « CGA 369873 » qui n’indique aucunement qu’il est dangereux comme on se méfie des ESA, ENO, métolachlore. C’est là que l’Etat ruse et complique à merveille. Ce CGA 369873 , lui, n’a pas de N° CAS ! Certes, la nomenclature est 2,6-dimethylphenylcarbamoyl –methanesulfonic acid (sel de sodium), et formule C10H12NO4SNa. Dans cet article, on voit que 2 molécules se voient retirer leurs « pertinences » ( comprenez « non dangerosité supposée » ) : ESA et ENO métolachlore. C’est encore plus fort. Il faut s’attendre encore à des contorsions semblables pour éviter que les eaux potables se voient qualifiées de Non Conformes. Ex. de présence CGA369873 ->sur site ministère santé, orobna (eau potable): ->région Centre, dépar-tt Indre-et-Loire/DESCARTES.